Erika - Close your eyes and remember everything is gonna be okay.

∞ En quelques lignes ou en plusieurs points, décrivez nous le caractère de votre personnage :

Alors qu’elle était encore enfant, Erika était souriante et de nature joyeuse. Une petite sorcière qui évoluait lentement dans ce petit monde. Car oui, Erika a été sorcière... Elle a pas mal apprécié cette partie de sa personnalité jusqu’à ce qu’elle en découvre le côté bien plus sombre. Car oui, ses parents étaient aussi sorciers et ça n’a pas eu que de bons côtés. Elle n’était pas franchement ce qu’on appelle une fille féminine, légèrement garçon manqué, elle n’a jamais été superficielle, se moquant de tous ces gens ayant une vie faite d’artifices. C’est peut-être ça qui a fait qu’elle ne se mêlait pas autant qu’elle ne le pensait aux autres. Il faut dire qu’elle se distinguait bien des autres, que ce soit par sa manière de faire, de penser ou d’être. C’est bien un point de son caractère qui n’a en rien changé au fil des années. Chose qui n’est pas facilement acceptée par autrui et qu’elle ne manquera pas de découvrir au fil de sa vie. Son erreur a été d’être une jeune fille au caractère faible, se laissant facilement berner, tromper et utiliser sans vouloir s’en rendre compte. Jusqu’à ce qu’on la force à voir la réalité en face.
Elle s’est alors laissée aller une dernière fois, elle a fait preuve de faiblesse une ultime fois et a de nouveau été sujette à la manipulation et à la froideur d’autrui. C’est alors qu’Erika s’est mise à bien changer. Elle se rendit compte qu’elle avait été niaise tout au long de sa vie s’enfonçant dans le pathétisme et le ridicule, n’aimant en rien l’idée d’être vue de la sorte, l’idée d’être une proie facile et sans aucun répondant. Elle ne s’aimait pas. Elle n’arrivait pas à vivre avec sa bêtise quotidienne et son ridicule affligeant. Alors, elle a choisi que sa vie prendrait un tout autre tournant. Désormais bien plus rebelle qu’elle ne l’avait auparavant été, elle avait plus de répondant lorsqu’on la cherchait, que ce soit avec ceux se faisant appelé ses ‘amis’, ou encore sa famille de laquelle elle s’est beaucoup détachée depuis.
A ses yeux, il n’y avait qu’une manière de se protéger. Elle s’est alors de plus en plus renfermée, cela ne cessant avec le temps, cherchant à se faire discrète, répugnant à l’idée de se mêler à autrui et accordant avec grande difficulté sa confiance. Méfiante, vivant avec cette crainte permanente de connaître de nouveau la déception. Cela a d’autant plus fait d’elle une cible facile apparemment... Malgré cela, elle ne voyait d’autres manières de se protéger que de se forger cette carapace la renfermant dans son monde et l’excluant des autres.
Mais elle n’a pas trouvé son bonheur dans la solitude, loin de là. Il ne lui était même pas donné d’effleurer le bonheur du bout des doigts. Elle en a souffert et s’est perdue dans cette douleur quotidienne. Seules peu de choses la faisaient vibrer. L’adrénaline, la drogue, l’alcool, la clope, les soirées très peu recommandées, elle allait là où elle se sentait un peu revivre, mais elle trouva surtout son réconfort dans la douleur. Elle se mutilait quand elle était gagnée par l’ennui. C’est ce qui mit fin à ses jours d’ailleurs.

Nam sole orto magnitudine angusti gurgitis sed profundi a transitu arcebantur et dum piscatorios quaerunt lenunculos vel innare temere contextis cratibus parant, effusae legiones, quae hiemabant tunc apud Siden, isdem impetu occurrere veloci. et signis prope ripam locatis ad manus comminus conserendas denseta scutorum conpage semet scientissime praestruebant, ausos quoque aliquos fiducia nandi vel cavatis arborum truncis amnem permeare latenter facillime trucidarunt.Equitis Romani autem esse filium criminis loco poni ab accusatoribus neque his iudicantibus oportuit neque defendentibus nobis. Nam quod de pietate dixistis, est quidem ista nostra existimatio, sed iudicium certe parentis; quid nos opinemur, audietis ex iuratis; quid parentes sentiant, lacrimae matris incredibilisque maeror, squalor patris et haec praesens maestitia, quam cernitis, luctusque declarat. Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.

Novo denique perniciosoque exemplo idem Gallus ausus est inire flagitium grave, quod Romae cum ultimo dedecore temptasse aliquando dicitur Gallienus, et adhibitis paucis clam ferro succinctis vesperi per tabernas palabatur et conpita quaeritando Graeco sermone, cuius erat inpendio gnarus, quid de Caesare quisque sentiret. et haec confidenter agebat in urbe ubi pernoctantium luminum claritudo dierum solet imitari fulgorem. postremo agnitus saepe iamque, si prodisset, conspicuum se fore contemplans, non nisi luce palam egrediens ad agenda quae putabat seria cernebatur. et haec quidem medullitus multis gementibus agebantur.