Clothes and shoes, the perfect world ~ Feat Rebekab Mikealson et Caroline Forbes

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Clothes and shoes, the perfect world

Feat. Rebekah and Caroline

Le vent soufflait légèrement, Ambroise sortait de sa voiture et le magnifique chignon qu’il avait passé deux heures à faire venait d’être défait en à peine cinq secondes. Enervé, contre l’élément qu’il adore pourtant le plus, Ambroise soupira et défit le peu de cheveux qui étaient encore attaché en une espèce d’amas de cheveux. Ses mèches retombaient sur son cou et ses épaules. Des boucles délicates et gracieuses avaient réussi à se former avec majesté malgré le vent qui s’était remis à souffler assez fort. Sa tignasse rebelle donnait vraiment un effet félin très sexy et assez sensuel. Niveau maquillage, ce n’était rien de très élaboré. Un trait d’eye-liner en mode Cléopâtre et une légère touche de fond de teint pour unifier son visage angéliquement diabolique.

Ambroise se dirigeait vers la devanture de sa nouvelle et immense surface commerciale, en gros sa boutique de vêtements, d’accessoires de sorcellerie ainsi que de magnifiques bijoux. Ambroise ouvrit la porte et déposa son sac sur le comptoir. Il fit assez vite le tour du magasin, retourna au comptoir et rangea ses affaires avant de retourner le petit panneau « fermer » sur la face « ouvert ». Il ouvrit la porte et retourna au comptoir. La journée s’annonçait bonne. Il avait choisi de continuer son projet de boutique vendant des objets ayant attrait à la magie. Il s’avait pertinemment que cela était dur de trouver certaines choses.

Ambroise avait envoyé il y a cinq jours les patrons des nouveaux vêtements qu’il avait créés à l’usine de Chance Harbor qui fabrique les vêtements de ses trois boutiques. Ambroise avait reçu les cartons hier et les vêtements ne sont en vente qu’aujourd’hui. Il espérait que les nouvelles créations allaient plaire à plein de monde. Ambroise avait dessiné plusieurs belles robes style dix-neuvième siècle, une série du style années vingt et Ambroise avait réussi à remanier les modèles de robes des années soixante, ainsi que de nouveaux styles de robes classiques et de bal. Ambroise avait aussi réussi à dénicher une fabrique de chaussures à talons aiguilles et le pauvre androgyne avait pu se procurer gratuitement, pour lui-même, une paire de chaque modèle qu’il avait créé pour sa ligne, ainsi qu’en mettre dans ses rayons. Passant d’une paire rouge à une paire dorée, en passant par du classique… En gros la boutique d’Ambroise est le paradis de la parfaite fashionista qui recherche à bourrer sa garde-robe.

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Clothes and Shoes, the perfect world

"Les connaissances sont le reflet de notre moi intérieur en fonction de l'instant présent..."

Je jetais un coup d’œil désespéré à ma garde-robe… Je n’avais plus aucun vêtement à me mettre… Cela faisait quoi ?! Un mois que j’étais rentrée ? Et je n’avais pas encore été faire les magasins. D’ordinaire, je faisais du shopping deux fois par semaines… J’avais côtoyé (grâce à Niklaus je le savais et je lui en serais toujours reconnaissante) les plus grands dessinateurs, les plus grands stylistes… J’avais même eu le droit d’avoir une garde-robe gratuite. Car à chaque apparition, dans des endroits stratégiques, on me faisait des cadeaux… Cette époque-là avait été une de plus belles, des plus agréables, que j’avais pu vivre… Cependant, un mois à Mystic Falls m’avait empêché de me rendre faire quelques heures de shopping… Bon ! Soit ! Ce temps je ne l’avais pas pris… C’est pourquoi ; Il était temps que je fasse quelque chose…
Allant cherchant mon sac à main, je vérifiai que ma carte de crédit était toujours là… Oui ! Ouf ! Elle y était… Mon dieu ! Pendant un instant j’avais cru l’avoir perdu. Fort heureusement ! J’étais plus organisée qu’il y a six ans. Combien de fois j’avais dû appeler Elena ou Bonnie, en leur demandant si – par hasard- elles n’auraient pas en leur possession, quelque une de mes affaires… Comme mes devoirs pour le lendemain… Repensée à cela me fais sourire… C’était le bon temps ! Le temps de l’insouciance. Le temps de l’amusement et des premières découvertes… J’allais tourner dans le mélo si je continuais comme cela ! Mais cela restait des souvenirs gravés a jamais dans mon esprit… Je penchai la tête pour voir comment j’étais fringuée. La glace me renvoya l’image de la Caroline sage, qui ne prend pas de risque. Qui a confiance en elle mais sans vraiment le montrer ! Hors j’avais muri en deux ans. Je voulais autre chose… J’étais devenue une femme et je voulais m’affirmer comme telle. Me déshabillant en un éclair je pris mon superbe pantalon en cuir noir super moulant que j’accommodai avec un petit chemisier blanc. Une paire de boucle d’oreille un coup de mascara et cheveux lâchés… Ils avaient nettement poussés depuis mon retour… Surement le retour à la source. Prenant mes clés de voiture je me dirigeai vers un nouveau coin, qui ne m’était absolument pas familier… (C’est ironique, ne prenez pas au pied de la lettre mes phrases !). Direction le centre commercial. J’étais tellement impatiente de pouvoir aller dépenser quelques dollars pour me sentir bien dans ma peau… Et si j’avais le temps j’irai me chercher une ou deux paires d’escarpins. L’enseigne s’afficha une bonne trentaine de minute plus tard ! Merci les feux rouges à répétition ! Coupant le contact du moteur, je fila dans le premier magasin qui me faisait face et salua les gens à l’intérieur :

« Bonjour ! »

fiche par century sex.

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Rebekah & Ambroise & Caroline ||Clothes ans shoes, the perfect world

Aujourd'hui j'étais d'humeur dépensière, ça faisait au moins deux bonne semaine que je n'avais pas fait les boutiques ! Et pour moi c'est bien trop. Il me fallait ma dose de lèche-vitrines et faire chauffer ma carte. Avec tout l'argent que ma famille à amassé au fil des siècles, je pouvais me faire bon nombre de plaisir. Donc me voilà me préparant pour mon shopping hebdomadaire.

Je n'allais pas non plus à une soirée alors je me contenta d'un simple jean avec un petit assez banale. Je mis par dessus ma veste en cuir et mes escarpins noir Louboutin. Des chaussures magnifiques qui valaient le PIB d'un petit pays mais moins 1% de la fortune de ma famille. J'étais une vrais fashonista depuis bien des siècles. Toujours à la pointe de la mode. Et j'avais entendu qu'un nouveau magasin avait ouvert et à sa tête un très bon styliste. Il fallait absolument que je le teste, personne ne se faisait un nom sans mon accord et ça remonte à bien des siècle.

Me voilà au volant de mon cabriolet en direction du centre commerciale, je n'y étais pas allée en courant par le simple fait qe voir une jeune femme partir à pied avec des centaines de sacs dans les bras paraîtrait suspect. Je me garait tranquillement et descendais de ma voiture. En arrivant devant l'enseigne, je vis Caroline rentrer. La petite blondinette avait elle aussi entendu parler de l'ouverture de cette boutique.

Je rentrais alors dans la boutique, me plaçai discrètement derrière là Caroline et lui glissait tout bas

Les plus belles robes seront pour moi, je suis prête à me battre contre toi Blondinette !

mocking jay.

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Feat. Rebekah and Caroline

Ambroise s’ennuyait quelques peu à la caisse et avait fini par faire un tour des rayons. Ayant ouvert son magasin, il y a peu, il n’avait pas encore pu trouver de personnel pour l’aider dans son magasin à Mystic Falls. Donc le sorcier androgyne à la coiffure blond de blé marchait dans les différents rayons de sa grande boutique. Après un petit tour complet du magasin, Ambroise se demanda s’il avait retourné le panneau de fermé à ouvert. Il se décida à aller voir à la porte et remarqua que cette dernière était bloquée. Ambroise posa la main sur la poigné et usa de sa magie pour l’ouvrir avec force. Préférant avoir des clients, il décida d’ouvrir les deux portes totalement pour donner une espèce d’invitation à la clientèle. Ambroise retourna au comptoir et attendait les clients. Après quelques minutes plusieurs personnes entrèrent. Comme pouvait le penser le sorcier, les personnes regardaient beaucoup les robes et les chaussures, délaissant un peu les jeans et les t-shirt et autres tops.

Une blonde, assez belle, entra dans le magasin et juste en la regardant Ambroise sentit que c’était un vampire. Ambroise encaissa les vêtements pris par la personne en face de lui et répondit à la salutation de la jeune vampire. Ambroise venait de finir la cliente et se dépêcha d’aller vers cette nouvelle cliente qui promet de surement dépenser beaucoup, connaissant parfaitement les dérives des femmes vampires niveau shopping. Suivi de près une autre belle blonde entra. La dernière avança vers la première et lui murmura des mots, qu’Ambroise n’avait pas entendus. Les deux femmes arboraient un style un peu commun aux premiers abords. Mais le sorcier remarqua des Lou Boutin sur la deuxième blonde et que la première portait un pantalon en cuir. Plutôt osé vu qu’elle n’a pas vraiment le physique dit « diabolique » pour réellement porter ce genre de chose.

Bonjour mesdames, je pressens que vous n’êtes pas des clientes ordinaires. Si vous avez besoin de quelque chose n’hésitez pas à venir me parler je me ferais un plaisir de répondre à votre requête comme il le faudra. Je m’appelle Ambroise. fit le sorcier en souriant aux deux créatures de la nuit se trouvant en face de lui.

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Clothes and Shoes, the perfect world

"Le shopping est comme une drogue dure... Une fois que tu as mis le nez dedans tu ne peux plus t'en passer!"

Un sourire étira mes lèvres quand j’entendis la voix de Rebekah Mickaelson s’adresser à moi me disant qu’elle n’aurait pas peur de se battre pour avoir la plus belle des robes… Je me retournai et lui fit un grand sourire. Cela faisait bien longtemps qu’on ne s’était pas vu. Je ne savais pas que Bekah était de retour à Mystic Falls… Une pensée pour Klaus m’envahie subitement… Etait-il ici aussi ? Hope et Hayley également ? Beaucoup de question qui restèrent sans réponse car je devais me faire à l’idée que Klaus était Klaus et que rien ni personne ne pourrait le changer. Cette pensée je l’avais vu un nombre de fois incalculable depuis mon départ de la nouvelle-Orléans. Je savais que je ne devais rien regretter et que c’était ma décision d’être partie. Chassant d’un coup de tête discret, ces pensées, je jetai un coup d’œil à Bekah. Elle était superbe. Comme toujours. Un gros coup de cœur pour ses magnifiques chaussures. Pris d’une inspiration subite, surement, le réel plaisir de la voir, je la serrai contre moi. D’habitude, je ne me serais pas permit de serrer contre moi la vampire, car en plus de ne pas être notre genre commun, je connaissais le dégout de l’Originelle pour le contact physique. Mais je m’en fichais.

« C’est bon de te voir Rebekah ! Tu es toujours aussi agressive quand tu commences à faire ton shopping ?! »

Je la lâchai, aussi vite que l’idée de lui faire un câlin m’avait traversé l’esprit, et je vis une personne approcher vers nous. Je lui souris et écouta avec attention ce qu’il nous disait. J’avais hâte de faire flamber la carte de crédit ! Alors autant demander à quelqu’un un coup de main. Je pris les devants.

« Vous êtes chargés de nous trouver vos tenues les plus belles et les plus chères… Nous sommes de sortie ce soir… »

fiche par century sex.

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