[Hot] Se defouler (sha)

étais en train de vider une jeune fille lorsque mon téléphone sonna, je répondais tout en fourrant mon poignet sanglant dans la bouche de l’humaine pour qu’elle guérisse. C’était Hayley une jolie louve fort sympathique que j’avais rencontré peu de temps après avoir découvert que l’hybride originel soit mon créateur. La voir déprimée dans ce manoir lugubre m’avait fait un peu mal au mini cœur que j’ai et je lui avais laissé mon numéro, bien décidé à lui redonner le sourire. Et elle avait l’air tout sauf contre, ça prouvait encore plus qu’elle devait royalement se faire chier chez les vieux même si sa fille s’y trouve…
J’abandonnais après une hypnose la jeune humaine et sortais de la ruelle où l’on s’était dissimulé, je passais juste chiper une bouteille dans le Mystic Grill. Quand Hayley m’appeler c’était souvent pour tout oublier et se changer les idées, quoi de mieux que l’alcool pour commencer ? On s’était donné rendez-vous dans les bois et j’y fus en moins d’une minute, la vitesse vampirique aide toujours dans ces cas-là.
Adossé à un arbre je l’attendais et l’entendis arriver lui adressant un grand sourire. Lui faisant aussi une bise je la regardais s’asseoir à mes côtés, elle avait l’air épuisée mais heureuse d’être là et son sourire me faisait plaisir et était contagieux. Elle me montra sa bouteille et j’eus un petit rire, secouant celle de vodka que j’avais apporté :


Je débouchais ma bouteille et trinquais avec la louve lui adressant un clin d’œil et entrechoquant le verre des bouteilles avant de porter le goulot à mes lèvres. Même si ça n’avait grand effet sur moi ça faisait toujours du bien après un bon repas.


Lui proposais-je avec un sourire en réfléchissant à des jeux à la con pour se marrer. Les actions/vérités pouvaient être délire, ou les jeux à boire ou d’autres bien sûr.

ayley je ne la connaissais que très peu, mais le peu que je savais d'elle m'avait plu. Puis je me moquais amplement qu'elle soit louve ou autre, même qu'elle ai eu je ne sais quelle relation avec les originels, elle était cool, sympathique et avait une manière d'être qui me plaisait bien, alors je n'allais pas la rejeter et ne pas essayer de la connaître un peu plus. Puis j'imaginais parfaitement bien que sa vie devait être loin d'être facile... Mère à la vingtaine? D'un hybride originel pas toujours sympa? On a connu mieux comme vie... C'est pourquoi je voulais l'aider à récupérer un peu cette vie. Après tout si elle était un peu plus heureuse et retrouvait un peu sa jeunesse elle n'en serait que plus forte et à l'aise dans ce manoir vieux comme le monde et déprimant au possible... Puis un aussi joli brin de fille, je ne pouvais pas la laisser avec un air aussi triste au visage...

Bref! Je lui fis deux propositions et fus un peu soulagé qu'elle choisisse la seconde. Le but n'était pas de la faire plus déprimer sur ce qu'elle vivait alors le jeu pouvait la détendre et encore plus changer la donne.
Je réfléchis un court instant à un jeu, me roulant distraitement une clope avant de lui en proposer un:


Ajoutais-je avec un clin d'oeil en la gratifiant d'un clin d'oeil et d'un sourire, puis allumant ma clope je continuais:


Jeu basique qui me permettrait de lui poser autant de questions que je souhaitais et surtout qui mettrait un peu d'action dans cette soirée...

Hayley m’avait rejointe et une bonne soirée se présentait. En agréable compagnie, je n’allais pas m’en plaindre. Hayley voulait se changer les idées j’étais plus que partant voilà pourquoi je lui avais proposé ce jeu et que j’étais plutôt satisfait qu’elle l’ait accepté. J’aimais bien les filles qui préféraient s’amuser plutôt que de s’apitoyer alors je n’allais pas l’en dissuader.
Nous avions chacun notre bouteille et le jeu attendait que je le lance. J’avais l’honneur de poser la première question. Je réfléchis un instant à la question que je pourrais bien lui poser et me lança, commençant par du banal, du moins à mes yeux :


Basique et simple, pas trop déplacé à mes yeux mais qui sait, elle était peut-être timide, bien que j’en doute grandement !

e lui posais une première question, simple comme bonjour, et on ne peut plus basique. Mais on ne peut pas plus chiante pour la faire replonger en vue de sa réponse. Elle avait des soucis avec les Mikaelson et voilà que ma question la menait directement à parler d'eux. Je fis tout de même en sorte de tourner la chose à l'amusement pour pas qu'elle sombre de nouveau dans la déprime:

Lui demandais-je avec un clin d'oeil et un petit rire moqueur avant de taffer ma clope, rejetant des volutes de fumée alors qu'elle me retournait la question. Pensif je répétais tout en cherchant quoi répondre:

Il n'y en avait pas beaucoup, pas plus que les doigts de ma main d'ailleurs. J'aurais pu éviter de répondre mais l'idée était que l'on se livre n'est-ce pas? Alors je bus une gorgée pour me redonner contenance et lâchait:


Ajoutais-je en levant les yeux au ciel. Ma soeur, je n'aimais pas en parler, ça me brisait, la seule chose qui m'atteigne autant. Amelia, je ne savais pas quoi faire, m'éloigner ou continuer comme tel mais il était certain que je ne pourrais pas lui donner plus.


Question qui me taraude depuis que je l'ai rencontré, pourquoi rester focalisé sur le passé quand le futur vous ouvre les bras? Qu'elle fasse un doigt à ce qu'il lui est arrivé et qu'elle avance sans s'apitoyer!

eus un petit rire lorsqu'elle traita Elijah de chevalier servant. Elle ne pouvait pas avoir plus raison, pour lui tout le monde semble être une demoiselle en détresse! Même les hommes! C'est pour dire à quel point il m'agace, il est cool d'accord mais à partir d'un moment faut arrêter de vouloir sauver tout le monde surtout quand on a pas besoin de lui. Oui, moi non plus je ne me sentais pas au top dans cette famille d'originaux tordus, Niklaus était mon créateur, mais m'avait abandonné, ça j'aimais moyen...
Puis elle me demanda comment je réagirais si elle parlait de ma soeur. J'eus une légère hésitation avant de répondre :


Ajoutais-je avec un clin d'oeil. Bien sûr j'exagérais, pour me redonner contenance avant tout. Il fallait bien que je parle un peu de Katya, même si ça fait mal, puis le but du jeu était que l'on se dévoile un peu l'un à l'autre, et j'aimais bien Hayley, c'était une très belle femme avec un caractère bien trempé comme je les aime alors je savais que lui parler de Katya ne serait pas une erreur. Pourquoi lui demander de se dévoiler si je ne le fais pas moi-même? ça serait injuste pour elle.
Je lui posais ma question et mis encore les deux pieds dans le plat, en même temps je savais que celle-ci n'allait pas être facile mais Hayley avait eu le cran d'y répondre malgré tout. Je n'ajoutais rien mais opinais, cela ne pouvait que lui faire du bien de quitter le manoir hanté, puis pour sa petite puce c'était bien mieux aussi, j'avais un peu peur qu'elle finisse par être contaminée par le caractère lugubre des Mikaelson à force d'y vivre. Hayley et Hope sont bien trop lumineuses pour vivre dans un endroit aussi froid.
Une nouvelle question fusa et j'y répondis d'abord à la légère:


A bien y réfléchir la deuxième option était la mieux, ainsi nous n'aurions pas été là pendant l'attaque de notre village et nous aurions pu continuer de vivre tous les trois, sans mon connard de paternel. Je ne serais pas devenu vampire mais j'aurais été avec ma mère et ma jolie princesse. Voilà pourquoi à mon avis je commençais à m'attacher à Hope et voulais le mieux pour Hayley. Les femmes dont les maris ou conjoints ou compagnons ou je ne sais quoi qui n'assument pas ou qui se montre cons envers leurs nanas ou les mères de leurs enfants, ça j'aimais pas, mais pas du tout.

eus le droit à un bisou et fut bien content, le sourire que j'affichais en était témoin alors j'ajoutais, légérement taquin comme toujours:

"Il m'en faudra des bisous, tu n'as pas encore vu à quel point je peux être difficile à consoler, t'es sûre que tu vas y arriver? "

Je l'embêtais bien sûr, mais elle me plaisait bien, pas du genre à se braquer au moindre petit jeu, c'était ce que je découvrais chez Hayley et que j'aimais bien. Après tout je n'aime que m'amuser, le sérieux avec moi n'est pas de mise, la séduction est un tout, les sentiments ont y pense pas. Profiter et s'éclater, c'est tout ce que j'aime, c'est tout ce qu'il faut pour être heureux. Du moins, de mon point de vue.
Elle me demanda de parler un peu de ma soeur, je bus une gorgée avant de me lancer, me rappelant exactement de ce à quoi elle ressemblait, me rappelant tout d'elle tellement elle était chère à mes yeux.


J'eus un bête sourire au visage, me perdant un peu dans mes souvenirs de Katya, des moments qu'on passait à jouer tous les deux, de ces années de bonheurs qu'on a partagé et que j'adore revivre en rêves. Je me secouais et demandais:


Elle m'ébouriffa les cheveux et je fis semblant d'être outré avant de lui attraper la main pour qu'elle arrête. On rit d'un même rire avant qu'elle ne me questionne sur mon père. Inconsciemment mon regard se fit plus sombre. Contrairement aux souvenirs superbes que j'ai de ma mère et de ma soeur, ceux de mon père sont plus que merdiques... J'eus un petit soupir amusé en répondant:


Ajoutais-je avec un petit rire, jamais mon point de vue sur mon paternel n'avait changé à travers les siècles. Jamais. J'avais gardé sa main entre mes doigts et la pressais légèrement, sans vraiment m'en rendre compte, sous le coup de l'énervement que je connaissais lorsque je pensais à ce vieux pervers.
On reprit sur une note plus joyeuse avec le fameux j'aime, j'aime pas. J'approuvais ce qu'elle disait:


Elle me retourna la question et je répondis sans trop avoir besoin de réfléchir à la réponse:


Ajoutais-je en lui adressant un clin d'oeil charmeur avant de reporter ma clope à mes lèvres avant de l'écraser.

eux un sourire d'autant plus large lorsqu'elle dit qu'elle aimait les bisous et les câlins, comment ne pas craquer pour cette jolie demoiselle? Et surtout, comment s'abstenir de lui en accorder?! Je ne comprends vraiment pas comment les Mikaelson font pour rester de glace face à elle. J'aurais cédé depuis longtemps et ne l'aurais jamais laissé filer aussi facilement et surtout se sentir aussi mal. Ils sont définitivement pas malin, qu'ils soient vieux d'accord mais ce n'est pas une raison. Moi aussi je suis vieux, et je suis loin d'être comme eux, la preuve, je m'occupe moi-même d'entretenir le sourire ce la belle Hayley! Il y en a vraiment qui ne sont pas aidés dans ce monde...
Mais trêve de pensées mauvaises à l'égard de la famille de mon fichu créateur et focalisons-nous sur cette conversation avec l'adorable louve. Nouvelle question sur ma soeur. Ma Katya.


Ça avait été le cas avec Katya pour moi. Enfant, je pouvais passer des heures à la regarder somnoler, à l'entendre rire, et à m’inquiéter dès qu'elle gémissait un peu. C'était ma soeur, la mienne, ma précieuse petite soeur et je voulais avant tout la protéger et n'y était pas parvenu.
Je la questionnais du regard lorsqu'elle parla de sa main avant de comprendre, je la serrais un poil trop fort et m'empressais de relâcher la pression. Non, je ne lui lâchais pas entièrement j'aimais bien lui tenir, elle était brûlante comparée à la mienne et rassurante, agréable. Je lui caressais la main alors que je lui exposais ce que j'aimais chez une femme. Je trouvais ridicule de n'en aimer qu'une, bien sûr il y en avait toujours une ou deux qui sortent de l'ordinaire, qui ont un petit plus que les autres n'ont pas, mais je dois l'avouer j'aime beaucoup de femmes. Pour ce qu'elles sont, pour leur caractère, leur manière d'être et de voir les choses. Mais je fais toujours attention à ne pas les blesser, car je ne supporte pas de les voir blesser. Bon parfois ça m'arrive mais c'est contre mon gré, pas toujours de ma faute non plus voyons!
Bref, j'eus un petit sourire à sa dernière phrase et la fixant je dis sincèrement:


Je laissais ma phrase en suspens, ramenant sa main vers mes lèvres et y déposant un baiser qui laissait bien passer ce que j'allais dire, caressant son bras du bout des doigts avant de continuer ma phrase:


Je n'allais pas mentir à ce sujet, pas mon style. Elle me plaisait c'était peu dire, jolie, adorable, un caractère comme peu ont, une fille en or et rare bien que peu semble en être conscient. Mais je le savais, je le voyais et quand quelqu'un me plaît je le fais savoir. Continuant de caresser son bras, la fixant toujours, un regard légèrement joueur, j'ajoutais:

eus un sourire lorsqu’elle dit qu’elle voyait déjà avec Hope de quoi je voulais parler lorsque je racontais mon histoire avec Katya. Ce qui était sûr c’est que je ferais tout pour que ces deux-là ne connaissent pas le moindre tourment, du moins pas plus qu’elles ne connaissent déjà. On peut largement rêver meilleur contexte pour élever sa fille…
On passait ensuite à une conversation qui était plus un jeu de séduction qu’autre chose. Après tout c’était normal non ? Vampire de 900 ans qui n’a pas envie d’être sérieux, Louve a l’histoire complexe et triste et surtout en manque d’affection. Ça ne pouvait que faire des étincelles non ? L’un comme l’autre avions besoin, envie, de pas nous prendre la tête, de profiter et de se laisser aller, alors pourquoi se retenir. C’était pas mon style et ça ne semblait pas du tout être le sien non plus.

Elle s’approchait alors, sans me quitter des yeux, et j’en fis de même, continuant d’un main à jouer avec ses doigts, les mêlant aux miens alors que l’autre venait caresser ses cheveux et sa joue. Elle dit que ça faisait longtemps qu’on n’avait pas chercher à la séduire :


Puis je m’approchais encore avant de ne pas me gêner à l’embrasser, glissant ma main le long de sa nuque pour prolonger notre baiser.

étais content d’être là pour Hayley, après tout elle en avait besoin. Elle n’avait pas tant de soutient que ça chez les Mikaelson, voire même pas de soutien du tout, et elle avait beau avoir l’étoffe d’une dure à cuire à laquelle faut pas chercher de noises, elle restait sensible, d’autant plus en tant que mère. Donc je sais pas pourquoi je m’étais mis dans la tête de me rapprocher d’elle, mais j’étais persuadé qu’elle serait d’autant plus belle le sourire aux lèvres. Et elle semblait déjà aller mieux depuis qu’elle sortait un peu de sa fichue prison dorée.

On laissa largement tomber le jeu, après tout on était focalisé sur autre chose. Notre petit jeu d’attirance et de séduction. Oui, un jeu, rien de plus, un jeu d’adulte pour se lâcher, pas un truc sérieux du genre échange de regards électriques et pleins de cœurs. Pas mon style et j’espérais que ce ne soit pas le sien non plus.
Je sentais un certain recul de sa part, non pas qu’elle avait l’air contre, mais comme si elle n’était pas sûre de ce qu’elle faisait. C’était attendrissant et donnait d’autant plus envie de prendre soin d’elle. Les Mikaelson sont vraiment sans cœur, un aussi joli et attendrissant brin de louve sous leur toit et aucunes folies ?! Pas croyables…
Je l’embrassais, sachant que si au final elle se ravisait alors elle s’écarterait où me giflerait mais au moins j’aurais tenté la chance. Heureusement pour moi elle ne me rejeta pas et prolongea même le baiser. Ce que j’aimais avec les louves c’est le piquant du contraste chaud du garou et froid du vampire… encore plus de sensations c’était nickel ! C’était le cas avec ce baiser, ses lèvres chaudes contre les miennes glaciales.
Alors qu’elle passait sa main dans mes cheveux je ne me gênais pas pour user de ma vitesse vampirique et l’allonger au sol, continuant de l’embrasser, une main sur ses hanches, la seconde quittant sa nuque pour descendre sur sa poitrine, se frayant un chemin sous son haut pour venir la caresser.

Hayley avait beau être mère elle restait belle et désirable, je ne le faisais pas par compassion ou autre bêtise dans le genre, non je le faisais parce qu’elle me donnait envie de le faire voilà tout. Elle est attirante, c’est peut-être pour ça que je l’ai approché la première fois d’ailleurs si j’essaie de ne pas me voiler la face, parce qu’elle m’intriguait et que je la trouvais plus que désirable… Alors j’étais content d’avoir droit à ce moment privilégier ce soir, continuant de lui caresser la poitrine, quittant ses lèvres pour déposer des baisers dans le creux de son cou, mordillant le lobe de son oreille lentement.

e savais qu'Hayley voyait ce qu'il se passait entre nous de la même manière que moi. Comme deux potes qui ont juste besoin de se détendre, de lâcher prise et donc profitent de la présence de l'autre pour le faire. Quoi de mieux que de le faire avec une amie? ça n'a que des avantages quand on est sur la même longueur d'ondes. D'une part, on n'est pas forcé de partir en catimini avant que l'autre se réveille, d'autres parts on peut reprendre une relation amicale de base sans aucune gêne le lendemain et en plus ça renforce sacrément l'amitié! Alors quoi de mieux que les sexfriends? Parce que oui, rien n'empêche d'en avoir plusieurs... Le sentiment d'amitié m'a toujours suffit amplement, l'amour ça n'a jamais été ma tasse de thé et vu ce qu'a vécu Hayley niveau coeur j'imagine que pour elle aussi c'est pas du gâteau. Alors entre handicapés des sentiments faut bien se serrer les coudes non?

ça me fit plaisir qu'elle se laisse aller, qu'elle ne se restreigne pas et qu'elle ne fasse pas sa prude. C'était en quelques sortes signe qu'elle me faisait confiance pour lui remonter le moral et ça faisait plaisir.
On commençait les choses sérieuses, caresses et baisers étaient de la partie. J'appréciais ses caresses tout comme elle semblait apprécier mes baisers, j'eus un sourire satisfait à l'écoute de son soupir ardent et ôta mon haut avant d'en faire de même et de lui ôter sa robe. Contemplant quelques instants sa peau brune seulement cachée de son soutien-gorge et de sa culotte qui n'allaient pas faire long feu croyez-moi... Je m'abaissais de nouveau sur elle pour la caresser et parcourir sa peau de baisers. Une de mes mains alla dégrafer son soutien-gorge alors que la seconde descendait doucement jusqu'à sa culotte.
Je plaquais ses hanches contre les miennes continuant les préliminaires et atteignant son intimité pour y poursuivre les caresses. Mon autre main vint remettre une de ses mèches de cheveux en place avec tendresse afin que je puisses de nouveau l'embrasser, nos souffles chauds suite à l'envie et l'excitation se liant, intensifiant l'envie. Appréciant le contact de mon torse pâle et frai contre sa peau si douce et chaude. Antinomie parfait et pourtant mélange exquis...